Le groupe
Biographie :

Embryonic Devourment est un groupe de brutal death metal américain (Californie) formé en 2003 et actuellement composé de : Austin Spence (basse, chant / ex-Ciribus, ex-Mummification), Luke Boutiette (batterie), Adam Weber (guitare / Mummification, Occision, ex-Zero Control, ex-Grindstorm, ex-Murder Construct) et Lauren Pike (guitare / chant). Embryonic Devourment a sorti son premier album, "Fear Of Reality Exceeds Fantasy", en 2008 sur le label Deepsend Records chez qui il est toujours signé aujourd'hui. Le deuxième album, "Vivid Interpretations Of The Void", est sorti en 2010 et le troisième, "Reptilian Agenda", en Février 2014.

Discographie :

2003 : "Beheaded By Volition" (EP)
2008 : "Fear Of Reality Exceeds Fantasy"
2010 : "Vivid Interpretations Of The Void"
2014 : "Reptilian Agenda"


La chronique


3 albums, un split, un EP.  Le groupe californien existe depuis 2003,10 ans déjà. Avant d’écouter, j’ai jeté un œil sur Internet car Embryonic Devourment m’était totalement inconnu, j’ai vite compris pourquoi : technical brutal death metal. Pour moi, le brutal death technique a toujours été d’un chiant déconcertant, je n’ai jamais réussi à comprendre son intérêt.

Bref, l’album ici présent  parle des reptiliens, une civilisation qui croise l’humain et le reptile… pourquoi pas, après tout ça fait partie de la mythologie, au moins il y a du texte sur la musique. Cette  musique commence… ma tête part en arrière de dépit… long soupir... et en plus le chant m’insupporte. La voix est proche de celle du chanteur de Krisiun mais en plus irritant pour l’oreille, aïe aïe aïe. C’est un album, pas un EP, je vais donc l’écouter en entier, après tout ça va peut-être finir par rentrer. Le côté technique est très présent sur les parties de batterie, Luke Boutiette change de rythme toutes les dix secondes, enchaîne les montées de toms, les descentes de toms, il est vraiment très fort, et les drum cam videos de lui l’attestent, mais ce chant…

Passé quatre morceaux et après une lecture de reviews sur Embryonic Devourment, je semble être le seul à ne pas accrocher au groupe. Merde.. what’s wrong with me ? Techniquement, c’est irréprochable, la production est old school, un peu à la Angel Corpse, ça peut être un mélange entre Inherit Disease (en plus tordu)  avec le son du premier Angel Corpse. Les fans de brutal death technique doivent adorer, personnellement les 8 morceaux m’ont ennuyé et depuis une semaine  je me passe un morceau par jour avant de tout écouter d’un coup, rien n’y fait, autant arrêter là. Désolé pour eux.


Davidnonoise
Janvier 2014


Conclusion
Note : 11/20

Le site officiel : www.embryonicdevourment.com