Le groupe
Biographie :

The Acacia Strain est un groupe de deathcore originaire de Chicopee dans le Massachusetts (USA) et formé en 2001 et actuellement composé de : Devin Shidaker (guitare / Oceano), Mike Mulholland (guitare), Matt Guglielmo (batterie), Griffin Landa (basse) et Vincent Bennett (chant / Cockpunch). The Acacia Strain compte douze albums à son actif et est signé chez Rise Records pour "Death Is The Only Mortal" (2012), "Coma Witch" (2014), "Gravebloom" (2017), "Slow Decay" (2020) et "Step Into The Light"
/ "Failure Will Follow" (2023).

Discographie :

2002 : "...And Life Is Very Long"
2004 : "3750"
2006 : "The Dead Walk"
2008 : "Continent"
2010 : "Wormwood"
2012 : "Death Is The Only Mortal"
2014 : "Coma Witch"
2017 : "Gravebloom"
2020 : "Slow Decay"
2023 : "Step Into The Light"
2023 : "Failure Will Follow"


Les chroniques


"Step Into The Light" / "Failure Will Follow"
Note : 15/20

“Et toi, tu l’as vu ?
- Qui ça ? Mon cul ?
- Nan, le nouveau The Acacia Strain ?
- Ouais.
- Et ? Bah son titre dit qu’il faut chercher la lumière dans les ténèbres mais musicalement ça plaît toujours pas à ma mère.”

Les fans de core et de musique lourde peuvent se réjouir, car The Acacia Strain est de retour avec "Step Into The Light". Un nouvel opus aux airs de tour de force musical et qui fusionne habilement la technicité, brutalité et épilepsie.

Ici, The Acacia Strain n'a pas l'intention de faire dans la demi-mesure. "Step Into The Light" s'ouvre avec "FLOURISHING". Un titre écrit en MAJUSCULES parce que l’album te hurle dessus. Enfin… TE HURLE DESSUS. Tu comprends ? TU COMPRENDS ?!. Pourtant, tu veux me dire que "FLOURISHING" te gueule pas tant que ça dessus puisque c’est la piste d’intro ? Alors mange-toi son breakdown dans la tronche et essaie de t’asseoir sur ta chaise derrière mon grand. "Step Into The Light" (qui lui est bien écrit en minuscules) enchaîne les uppercuts. En fait, ce disque ne fait que 23 minutes mais est là uniquement pour te brutaliser et faire de toi un truc plus fébrile qu’un coton-tige pour bébé. C’est massif et c’est des claques de darons à chaque titre (des claques qui durent donc en moyenne 1min30).

L'une des caractéristiques les plus frappantes de cet album est la façon dont il joue avec les contrastes. Non, je déconne. C’est juste de l’agressivité pure, aussi bas du front qu’une partie de Doom sous stéroïdes (il faut vraiment que j’arrête de citer ce jeu-vidéo…). Les moments de brutalité pure (soit tout l’album) sont entrecoupés de passages encore plus brutaux. Et tous portent un nom qui TE HURLE DESSUS : "FRESH BONES", "UNTENDED GRAVES", "NONE OF US ASKED TO BE HERE". D’ailleurs, même les featurings te gueulent dessus. Bref, tout te gueule dessus.

En ce qui concerne l'analyse technique des compositions, "Step Into The Light" est un album qui regorge de détails subtils et de nuances. Les riffs sont souvent complexes, avec des harmonies qui ajoutent une couche de profondeur à la musique. Nan, je déconne ça joue des grosses cordes à vide et des cymbales au ralenti pour te faire comprendre que tu vas encore t’en prendre une. Bon, après, il y a bien la partie "Failure Will Follow" mais après la perte de neurones que nous a fait subir "Step Into The Light" (et dans laquelle on se complait si bien hein), tout ça apparaît comme trop intellectuel. Nous on veut juste du “boom-boom”. Et "Step Into The Light" le fait parfaitement. Alors “boom-boom” dans ta gueule.


Rm.RCZ
Octobre 2023




"Slow Decay"
Note : 15/20

Si la pochette est paisible, seule celle-ci l’est. Sous ses airs de fausses quiétude et paisibilité, "Slow Decay" ne laisse aucune chance aux sifflements délicats d’oiseaux migrateurs. "Slow Decay" est un rouleau compresseur compacteur de nuques.

Forts en compression et en notes sous accordées, les douze titres de ce nouvel album rappellent une fois de plus que The Acacia Strain est the heaviest band around. De ce deathcore à la Thy Art Is Murder plutôt qu’à la Carnifex, "Slow Decay" s’autorise quelques mouvements djent, technical voire quelques gimmick metalcore ("Solace And Serenity", "Inverted Person", "Crippling Poison"). Lourd et imposant, "Slow Decay" s’inscrit toutefois dans une certaine linéarité qui peut parfois connaître quelques longueurs. Notons toutefois les featurings de Aaron Heard (chanteur de Jesus Pieces notamment) sur "Seeing God", Jess Nyx (Mortality Rate) sur "The Lucid Dream", Zach Hatfield (Left Behind) sur "I Breathed In The Smoke Deeply It Tasted Like Death And I Smiled", un titre au nom pas du tout très court mais très efficace toutefois. Et enfin celui de Courtney LaPlante (Spiritbox) sur "One Thousand Painful Stings".

Autant dire qu’entre ses performances et celles de ses invités, The Acacia Strain signe ici un disque renfermant le meilleur de ce qu’il pratique depuis deux décennies ("Birds Of Paradise, Birds Of Prey", "Crossgates", "Chhinnamasta"). En somme, de la musique de sauvage qui fait peur à la ménagère mais amuse particulièrement les amateurs de violence ou simplement les quidams ayant envie d’emmerder profondément leurs voisins.


Rm.RCZ
Septembre 2021




"Gravebloom"
Note : 13/20

Lorsque qu’un nouvel album de The Acacia Strain sort, vous n’êtes sûrs que d’une seule chose : cela va être lourd, "heavy", brutal… Depuis 15 ans et 7 albums, The Acacia Strain use sans merci – et avec succès – d’une imagerie violente, et d’innombrables breakdowns massifs et exceptionnellement agressifs. Que l’on qualifie ce groupe de nihiliste, du fait de ses paroles, ou d’insipide, du fait du de son style jugé par beaucoup "répétitif", The Acacia Strain est en toute objectivité une arme de guerre conçue pour détruire des paires oreilles et des salles entières. Depuis son virage en 2010 vers des horizons plus doom et lancinants, The Acacia Strain ne ressemble à aucun autre et se distingue sans difficulté grâce à son son et à sa personnalité dans cette mer de guitares sous-accordées et de breakdown à n’en plus finir.

Le départ de Daniel "DL" Laskiewicz, guitare et compositeur essentiel du groupe, en 2012 après l’excellent "Death Is the Only Mortal", avait suscité des craintes. Craintes à moitié atténuées grâce à un "Coma" (2014) bon, mais sans plus. "Gravebloom" changera-t-il la donne ?

Après plusieurs écoutes, je peux affirmer sans sourciller que cet album est "lourd" Pas « lourd » au sens habituel du terme, mais réellement "lourd" à souhait. Le groupe s’est enfoncé un peu plus dans les profondeurs en proposant un album 50% doom / 50% deathcore. Un amateur de doom classique pourrait trouver son compte sans problème dans le titre "Cold Bloom" par exemple. Malheureusement, "Gravebloom" n’est pas très accrocheur si l’on prend à l’écoute un titre isolé par ci un titre par là. Non, cet album joue la carte de l’ambiance et ne fait aucun compromis quant à son choix de taper plus du côté "death / doom" que "hardcore". Contrairement à "Coma", "Gravebloom" est plus fascinant en raison de cette exploration plus profonde du mal-être, de l’oppression et de l’isolement. Cependant, cette fascination pour les univers anxiogènes ne peut couvrir la ressemblance flagrante entre certains morceaux, tant en termes de structure que de mélodie.

Pour terminer, il est essentiel de dire que cet album ne fera pas beaucoup d’heureux. En effet, si vous n’êtes pas sensibles à la dose supplémentaire de doom dans "Gravebloom", alors cet album ne vous apportera aucune surprise car vous aurez déjà tout entendu dans les deux précédents, et vous retournerez sur "Wormwood" (2010) (jugé comme le meilleur album de leur discographie) comme beaucoup d’autre fans. Cependant, il est difficile de blâmer The Acacia Strain pour son engagement dans la signature de son son. Toujours reconnaissable entre mille, le groupe reste brutal quoi qu’il arrive, quitte à prendre le risque de se répéter. "Gravebloom" le démontre encore une fois, sans pour autant briller.


Vinny
Septembre 2017




"Coma Witch"
Note : 16/20

Le quatuor revient en force avec son nouvel opus intitulé "Coma Witch". On ne peut incontestablement pas nier que le groupe fait toujours autant effet. Avec ses riffs ultra agressifs et cette force dans l'écriture des compositions, il était évident qu'on allait encore se prendre une explosion en pleine figure...

Au menu, onze titres ultra violents, des enchaînements puissantissimes et une voix qui hume le sang ! Dès le premier titre, tout se démonte autour de toi. Rien à voir avec certains autres groupes de deathcore où l'on tomberait dans une certaine lassitude avec des vagues monotones. Ici, on a du lourd à la structure complexe. Les titres sont ni trop longs ni trop courts et la juxtaposition des riffs est bien pensée. La voix, quant à elle, est toujours aussi hargneuse, on ressent le travail et la passion de Vincent. Notez que le chanteur (straight edge) écrit des textes sombres parfois même effrayants. Pour cet album, Vincent a déclaré qu'il s'était inspiré de ses cauchemars, s'est forcé à dormir la nuit et a écrit ses textes en demi-sommeil. Chaque titre est un appel à la guerre, ça mitraille, les attaques de riffs se veulent massives et intenses. Les variations sont faites à la perfection et le son est ultra précis. Chaque instrument marque par sa présence. Mais quelle grosse prod' ! Dans ce style de musique, l'originalité est pourtant dure à trouver mais on arrive à reconnaître la touche de The Acacia Strain. Ce septième album studio est toujours aussi imposant, on peut dire que le quatuor a vraiment bien travaillé. On remarquera "Holy Walls Of The Vatican" avec un début de roulement de batterie qui enflamme et qui débouche sur plus de trois minutes de boucherie et de riffs rapides, c'est un des titres les plus vifs de l'album d’ailleurs. On enchaîne avec "World Demise" (avec en featuring Brendan Garone, le chanteur du groupe de HxC Incendiary), cette chanson est lourde au possible ! L'écoute se poursuit toujours avec la même euphorie. Le son est massif, on apprécie le travail d'enregistrement. Les rythmiques saturées sont bien accentuées avec certaines modulations.

Et on arrive finalement aux 27 longues minutes du titre "Observer " du disque 2, un mélange de tout avec un long passage de picking. Une atmosphère envoûtante qui marque la fin de cette orgie auditive. "Coma Witch" fait assurément son entrée parmi les écoutes de la rentrée !


Jenny
Novembre 2014




"Death Is The Only Mortal"
Note : 12/20

Après une vague oreille prêtée en 2010 à "Wormwood", leur précédent album, The Acacia Strain me laissait un souvenir d’un groupe très bas dans l’accordage et dans le tempo. Beaucoup de breakdowns et de raclage de couilles contre le parquet. Pas de véritables changements en 2012, les mecs ne sont pas devenus enfants de chœur en si peu de temps. On est toujours dans du massif, du violent, du direct et de la destruction massive. Là où sur le précédent album les breakdowns s’enchaînaient…. Eh bien là aussi.

Bon on va tenter un décortiquage en règle. Les Ricains reprennent les formules qui marchent : accordage 6 pieds sous terre, blocs massifs mêlant double gratte, batterie basse et chant venu d’on ne sait où. Le groupe ne se révolutionne pas mais absolument pas du tout. La seule touche technique est un mini solo placé au milieu du skeud. Et ensuite ? Accordages dissonants et violence à tous les étages. Vous avez les oreilles qui saignent ? C’est normal. T’as envie de vomir à cause des infrabasses ? C'est normal aussi. The Acacia Strain a le mérite d’évoluer dans un univers violent inclassable et ultra saturé. Le travail sur des blocs massifs et excessifs de riff gras dans la tronche est carrément bien foutu : le but est clairement de ne laisser aucun organe de ton corps vivant. Certaines parties calmes de "Time And Death And God" en introduction semblent faire ralentir une course effrenée, mais non les breakdowns repartent de plus belle. La production est intéressante, bien foutue, puissante et destructrice à souhait, en adéquation avec l’album et les compositions. Outre cela, les fans du genre se jetteront dessus. Pour les autres, on ne révolutionne rien. Grosse prod' ricaine bien grasse, grosses guitares, chant destructeur venu d’on ne sait où, gros breakdowns en pagaille (les morceaux semblent être eux-mêmes des breakdowns). Ca s'écoute mais derrière j’ai quand même du mal à comprendre si l’ensemble est un seul morceau ou si des séparations sont remarquables entre les musiques.

Quelque peu lassant à terme, "Death Is The Only Mortal" est un bon gros bloc violent pour quiquonque souhaite prendre un coup de poing avec infrabasses dans l'estomac. Pour les autres, l’intérêt n’est pas forcément ici car malgré la bonne production et un style qui se défend, les 10 morceaux d’un point de vue technique et artistique ne présentent qu’un intérêt somme toute limité, rien n’empêche cependant votre curiosité d’y balancer une oreille.


Sam
Novembre 2012




"Wormwood"
Note : 18/20

Parfois, y a des groupes qui font partie de votre "Kulture" (oui, j’écris culture avec K, c’est fait exprès). Je veux dire, des groupes dont vous connaissez le nom, dont certains de vos amis parlent tout le temps, et donc, vous les connaissez, mais vous n’avez jamais vraiment pris le temps de les écouter. C’est aussi ce genre de groupes que vous allez voir en concert parce que vous espérez ainsi avoir une bonne surprise, et si vous aimez, alors vous vous jetez sur l’album en rentrant.

The Acacia Strain faisait donc partie de ma Kulture. Puis un jour, un pote qui était censé me filer que des groupes Australiens que je connaissais pas (ceci pour me faire une idée de la scène hardcore Australienne), me file le dernier Acacia Strain, intitulé "Wormwood". "You know the Acacia Strain ?"
"Yes, for sure, but i’ve never really listened to it".
Sauf qu’il me file plus d’une trentaine de groupes, et à vrai dire, j’ai pas encore tout écouté (c’était y a plus de deux mois). Puis bon, vu que le groupe commence par un A, le sort a voulu qu’il apparaisse directement quand j’ouvre itunes. Et par flemme, je me suis dit "bon, bah, autant écouter ça alors".

Faut dire aussi, que je suis peut-être un peu de mauvaise foi. Même si un autre de mes potes (Français celui-là), un peu soûlé par le hardcore me sort "de toute manière, n’importe quel groupe de hardcore te plaît à toi", c’est pas vraiment vrai. En même temps, The Acacia Strain, c’est pas vraiment du hardcore (sur mon échelle de valeurs des étiquettes). Ça faisait partie un peu des groupes que je voulais pas écouter, parce que je me disais que c’était dans la même sauce que tous ces groupes qui font que la scène est engorgée. Bref. Comme je suis pas si peu "narrow minded", j’ai écouté.

Wormwood débute par "Breast", dont on se décide au début que c’est une simple intro, puisqu’une guitare résonne, jouant toujours la même note, avec une voix féminine roboïsée préconisant de tuer des gens si nécessaire. Et après 40 secondes, au dessus de la guitare résonnante, les "vraies" guitares se mettent à jouer, sur un rythme plutôt saccadé, et on se rend compte que c’est là aussi une vraie chanson. Plutôt lente, plutôt pesante, plutôt angoissante. Puis avec un refrain dont on se dit qu’il est voix claire, alors que pas vraiment, qui paraît un peu plus "pop". Enfin, qu’il est dans la vaine de tout ce qui sort ces derniers temps. Et alors que mon côté élitiste se dit "mais non, c’est mal", de l’autre côté, mes esgourdes en redemandent. Puis s’ensuit "The Hills Have Eye", la chanson phare, puisque c’est pour celle-là qu’un clip a été fait. Pas la meilleure de l’album à mon avis, mais là aussi, c’est une question de goût. Mais ce qu’on peut dire, c’est que cette chanson pourrait en effet bien être une bande son pour un film d’horreur, comme le laisse supposer son titre, parce qu’elle est à la fois angoissante, puissante. Et que les guitares font grâce à la polyrythmie. C’est d’ailleurs tout ce qui fait la beauté de The Acacia Strain sur cet album (je me prononcerai pas sur les albums précédents, vu que je les ai pas – encore- écoutés). Parce que parfois, on pourrait se dire que The Acacia Strain, ça fait un peu slamming death, vu que les musiciens prennent un malin plaisir à ralentir le rythme du tempo. Sur cette compo, sur toutes les compo, et le parangon de ma démonstration est la compo "Tactical Nuke" où le même riff est joué sur 5 minutes et où le tempo est ralenti tout le long. Ce qui fait d’ailleurs un drôle d’effet quand on l’écoute sans trop l’écouter, je veux dire, quand on fait quelque chose d’autre en même temps et qu’au bout de 2 min on se dit "et mais j’écoute pas la même chose depuis 2 min là ? Mais si, mais c’est beaucoup plus lent en fait." Ah bah oui.

Bref, "BTM FDR". Sur ce morceau, y a ce qui fait aussi, que The Acacia Strain vaut le détour. Un côté un peu djent (s’il vous plaît, les fan de djent, ne venez pas me casser les genoux). Un gros riff puissant, une lead guitare qui s’impose, généralement un riff assez simple, mais qui répété plusieurs fois fait son effet. Celui de se sentir cloisonné, emprisonné. Généralement, quand je chronique, je fais chanson par chanson. Puis quand j’en ai marre et que je suis en manque d’inspi, je change de technique. Mais là, limite j’aurai envie de continuer pour tout l’album, au sens où chaque chanson est un petit bijou. Chaque chanson contribue à la beauté de l’album. Ça paraît un peu con ce que je dis. Mais parfois, vous écoutez des albums, et de suite, vous arrivez à dire quelle chanson vous préférez. Puis parfois, y a des albums que vous voulez écouter d’une traite, parce que le tout, mis ensemble, le tout imbriqué, fait un mélange parfait. Wormwood, c’est le mélange parfait. Mais puisqu’il faut le faire, je vais citer les chansons qui surpassent le reste : "Ramirez", "Nightman", "The Carpathian", "Tactical Nuke", et la meilleure pour la fin "Jonestown".

Ha oui, parce que "Jonestow", c’est vraiment la chanson que je préfère sur cet album. Mais vraiment. J’ai dû l’écouter plus de trente fois. Parce qu’elle me fait vibrer, parce qu’elle me donne envie de mon poing en l’air et de chanter. Puis si j’ai un truc à rajouter sur The Acacia Strain, sur le "pourquoi que j’aime très très beaucoup cet album", c’est parce que j’ai remarqué que j’avais progressé en Anglais. Pour certaines chansons, pas besoin d’aller choper les paroles sur le net pour les comprendre. Et ça, ça fait du bien (enfin, surtout quand on a eu l’idée de se barrer dans un pays anglophone j’entends). En résumé, procurez-vous cet album, vite fait, et écoutez-le en boucle, c’est un ordre.


ePo
Octobre 2010


Conclusion
Le site officiel : www.theacaciastrain.com