Le groupe
Biographie :

Ink City est un groupe de rock fondé par (la charmante) Lena Metchta et Kult en décembre 2005. Né de la volonté de produire une musique puissante et accessible, Ink city n’hésite pas à franchir les frontières du metal et du rock’n’roll pour un résultat sans compromis. Après plusieurs concerts, le groupe, encouragé par son public, enregistre son premier album au studio Ste Marthe en Juin 2007, puit sort son premier EP en Décembre 2007.

Discographie :

2007 : "Ink City"
2007 : "EP"
2008 : "Human Rock School"


Les chroniques


"Human Rock School"
Note : 15/20

On reprend les mêmes et on recommence. J'ai eu le grand plaisir de chroniquer leur premier EP il y a quelques mois (en Janvier 2008) et j'avais été touché par leur son. La voix de Lena à la Sandra Nasic, les riffs à la SOAD, Nightwish et bien sûr Guano Apes se retrouvent toujours dans cet album. Ce skeud "Human Rock School" n'est pas nécessairement une découverte. En effet, sur les 10 titres, on retrouve les 5 titres du premier EP à savoir "Claws", "Neverending Ways", "Crossroad", "Baku" et "Slappy". Pour les autres songs, on reste dans la même veine avec La 4ème track : "Purple" et "B-fi". En ce qui concerne "Awake In Exile", on se rapproche plus d'un Nightwish, avec toujours ce petit fond Guano Apes ; de jolies parts de guitares nous sont proposées. "Mad world", avant dernier titre du LP, est un feat avec Cyril Valoggia. Elle sort un peu des sentiers battus de l'album en nous proposant une sorte de grunge, sans réelle prétention. Les voix se mélangent bien. Sandra Nasic et Eddie Vedder. Franchement sympa. Dernier titre : "One Man In The World". Changement presque radical. Piano, voix. Ce titre pourrait être une chanson de Kells. Mais, il y a toujours cette touche Lena dans le coin. Je trouve quand même un peu dommage de retrouver les 5 titres du EP sur ce disque qui en contient 10. Surtout que le dernier titre n'en est pas vraiment un, c'est un peu une sorte d'outro malgré ses 3 minutes. Je regrette peut-être qu'il puisse manquer un ou deux titres supplémentaires dans la lignée de ceux du EP. Mais "Human Rock School", même s'il me laisse un peu sur ma faim, est un très bon skeud. De plus, c'est encore Francis Caste qui est aux manettes, et comme d'hab, le son est remarquable. Un petit mot sur la pochette et son livret huit pages: efficace (j'avais dit UN mot). On résume: très bon CD, très beau son, belle pochette. A conseiller quoi.


El Caco
Octobre 2008




"EP"
Note : 16/20

Il y a des courriers qu’on aime recevoir. L’arrivée de ce CD en fait partie. Tout d’abord, l’enveloppe est travaillée, rouge, au format CD avec un logo très efficace. J’ouvre l’enveloppe, c’est le CD de Ink City, pochette carton hyper sobre et hyper efficace. Seul le nom de du groupe et le titre du EP simplement appelé "EP" y figurent. On distingue également au fond le logo. Dans la pochette, une petite bio, simple, efficace et un mot très sympa et personnalisé. Déjà, ces gens là marquent un point. Je sais, cela ne vous concerne pas mais je tenais à le signaler. On parle musique ? Et ben là aussi, c’est une agréable surprise ! Mais vraiment très agréable. On sent diverses influences : du Nightwish (pour les parties gratte de "Claws"), du Guano Apes ("Crossroad", véritable tuerie qui séduira les adeptes du genre, "Baku", "Slappy"), SOAD ("Baku") voire Faith No More ("Neverending Way"). En gros, on prend de la (très) bonne compo que l’on mixe avec toutes les influences précédemment citées, une voix féminine hyper puissante et de la personnalité, que l’on agrémente d’un très bon son, et on obtient un très bon et chaleureux EP façon Ink City. Un vrai groupe d’avenir ! Pas besoin d’en dire plus ! (Malheureusement, je reste sur ma faim… oui, 5 titres c’est court quand la qualité est là !)


El Caco
Janvier 2008


Conclusion
L'interview : Le groupe

Le site officiel : www.inkcity.fr