Le Docteur Ravioli est né en 2008. Formé par 2 chirurgiens plasticiens, qui pratiquent de temps à autre la guitare, le Dr Morgensberg et le Dr Nickelstein. Seront ensuite appelés à prêter serment le Dr Mattiowska, Maître de conférence de renommée dont le hobby dominical est la basse, et le Professeur Loïkoff, brillant Praticien Hospitalier, accessoirement batteur pendant ses rares temps libres. Le quatuor jure fidélité et dévotion au Docteur Ravioli, qu'ils ont créé de toute pièce. Dévotion qu'ils pratiquent dans une musique nourrie de vastes influences. Malheureusement, peu de temps après, le Dr Loïkoff décide de reprendre ses activités dans son cabinet et d'abandonner le projet délirant pour reprendre une vie saine et normale, ignorant les menaces du Docteur quant à son infidélité. Son corps fut retrouvé décapité dans une ruelle sombre Libanaise, où il avait fui. L'autopsie révèle qu'un nombre important d'organes ont été arrachés. Cause de la mort: Inconnue. En 2008, ils décident de ne pas se laisser abattre par cette tragique perte et enregistrent 6 morceaux pour l'honneur et la gloire du grand docteur, alors que de nouveaux scientifiques se proposent pour compléter l'équipe. C'est peu de temps après que le Dr Janusovitch rejoint l'équipe. Gynécologue qui a autrefois reçu la légion d'honneur ainsi que le prix Nobel de la paix, bel éphèbe au corps luisant sous le soleil tropical d'un pays où vraiment, y'a plus de saison, il jure à son tour fidélité au docteur. Peu de temps après, durant l'été 2008, ce dernier disparaît dans d'étranges conditions, laissant derrière lui l'équipe dans l'écho déjà lointain de ses heurts primitifs. S'en suivra une traversée désertique de huit mois pendant laquelle le projet sera compromis, et ce jusqu'au retour inattendu (mais triomphant) du Dr Janusovitch dans l'équipe en Juin 2009. Il restera muet quant à sa mystérieuse absence et menacera alors avec violence quiconque mentionnant cet événement. Son retour sort le groupe du coma pour un retour fracassant, pour une longue aventure et pour la gloire... la gloire du grand Docteur.